Départ en autocar de luxe pour le Domaine Bourgeois.
Accueil au Domaine Henri Bourgeois à Chavignol, l’une des grandes références de l’appellation.
Visite des installations depuis l’arrivée de la vendange en haut du village au chai d’élevage au milieu du village, en passant par le Caveau de dégustation. Depuis 10 générations, le domaine Henri Bourgeois cultive la vigne au cœur du vignoble du Sancerrois. Il est implanté sur le village de Chavignol réputé pour ses vins issus de coteaux pentus et pour son crottin de Chavignol. Avec seulement 2 hectares de vignes en 1950, Henri Bourgeois et ses fils ont agrandi la production à 65 hectares de vignes réparties sur les coteaux de Sancerre et de Pouilly Fumé. Sélection parcellaire et usage de la gravité caractérisent le travail des vignerons respectueux de leur environnement et attentifs au cycle végétatif de la vigne. Le terroir, varié, se compose de terres blanches : un mix d’argiles et de calcaire. Ce type de sol ralentit la maturation des raisins et autorise une vendange plus tardive. Le silex, en bordure de Loire, accumule la chaleur et hâte la maturation des raisins. Seuls une douzaine de vignerons de l’appellation Sancerre ont la chance de bénéficier de la présence de Marnes Kimméridgiennes sur leur vignoble, qui donnent beaucoup de personnalité aux vins. Quelques cuvées sont également produites sur un terroir de caillotes : un sol calcaire et pierreux qui donne des vins aromatiques, vifs et tendres. Dégustation d’une dizaine de vins au Caveau. L’élevage en fûts au Domaine Bourgeois. Vignerons du Sancerrois…
Une étoile Michelin au restaurant La Tour, à Sancerre…
Le restaurant, à Sancerre, fait son entrée dans le guide Michelin 2011. Une décoration de plus pour son jeune chef, Baptiste Fournier. Rien d’étonnant quand on connaît son parcours. Un parcours atypique, qui a donné à sa cuisine, cette saveur si particulière qui lui vaut aujourd’hui les honneurs du guide. Car si Baptiste Fournier travaille au restaurant la Tour depuis pas moins de trois ans, restaurant gastronomique créé par son père Daniel, il compte déjà nombre d’années derrière les fourneaux. Et pas derrière n’importe quels fourneaux. À Paris, au restaurant de Guy Savoy. « C’est marrant en plus, c’est l’année où le restaurant a obtenu sa troisième étoile », se souvient-il. À Paris également, chez Alain Passard, l’un des plus grands chefs parisiens. À Montpellier, dans l’un des bistrots des célèbres frères Pourcel… Mais aussi à l’étranger… Daniel et Baptiste FOURNIER, vous invitent à découvrir le charme de leur restaurant, où confort raffiné et ambiance d’antan se conjuguent à merveille. Entre terroir et gastronomie, Baptiste Fournier vous propose une cuisine sincère, fraîche et surprenante, tournée vers les produits de qualité : légumes et aromates qu’il conjugue au fil des saisons pour votre plus grand plaisir. Pour accompagner vos repas, notre cave à vin vous propose plus de 65 variétés de Sancerre rouges et blancs ainsi qu’une gamme d’autres vins prestigieux.
Au centre d’un vignoble réputé et en bordure de Loire, l’ancienne citadelle de Sancerre couvre l’une des collines de la rive berrichonne du fleuve. L’aménagement d’un site défensif et habité n’est avéré que depuis le Xe siècle, avec la construction d’un château fort. La châtellenie s’affirma avec la création du comté de Sancerre par Etienne 1er (vers 1132-1191), fils puîné du comte de Champagne. Le rôle stratégique de la forteresse fut primordial pendant la Guerre de Cent Ans, en particulier lorsqu’au XVe siècle la Loire était frontière entre le « royaume de Bourges » du dauphin Charles et la Bourgogne dont le duc était l’allié des Anglais. La paix revenue, Sancerre connut un temps de prospérité où l’on construisit la halle, le beffroi et de belles demeures à tourelles. Au XVe siècle, une partie des habitants adopta la Réforme et s’opposa aux armées royales et catholiques. Un long siège de huit mois en 1573 affama la population et vint à bout de la dissidence sancerroise. Les dernières velléités de résistance furent annihilées par la destruction des fortifications en 1621. De l’ancienne place forte, il ne reste plus qu’un donjon mutilé, la Tour des Fiefs Depuis la fin du XIXe siècle, la ville peine à renouveler ses fonctions commerciales et administratives. Sancerre perdit sa sous-préfecture en 1926. Mais la replantation d’un vignoble de qualité après la crise du phylloxéra, la promotion d’un fromage de chèvre, le crottin de Chavignol, et la protection des sites de la cité ancienne ont permis d’assurer le relais. La vitalité de Sancerre, des villages d’Amigny et de Chavignol repose désormais sur l’activité vinicole, la gastronomie et le tourisme.
Ouvert en juin 2005 dans un joli bâtiment ancien de la vieille ville, magnifiquement restauré, la Maison des Vins de Sancerre se veut au service des vignerons.
C’est une opportunité de découvrir les éléments caractéristiques de l’appellation dont une belle animation lumineuse sur un plan en relief qui permet de bien visualiser les terroirs de la région. Très bien conçu, cet espace sera à notre disposition pour rencontrer des viticulteurs.
Dégustation d’une dizaine de cuvées.
Visite commentée en compagnie d’un propriétaire possédant les trois types de terroirs qu’il assemble en une cuvée. Bien connu du Cercle Oenophile, Didier Prieur connaît parfaitement les différentes zones géologiques, les raisins que chaque terroir engendre et leurs potentialités dans l’assemblage.
Historique Le travail du vigneron Sancerrois a permis au cours des siècles de sélectionner le sauvignon et le pinot noir, deux cépages qui, associés aux sols et au climat de notre région, caractérisent l’expression unique des vins de Sancerre. Sur plusieurs générations de passionnés, l’histoire de la famille Prieur s’écrit dans les terroirs prestigieux du Sancerrois, tels que les Monts Damnés, les Coinches, les Bouffants à Chavignol, le Chêne Marchand à Bué, les Perriers à Verdigny… Aujourd’hui Bruno et Thierry Prieur gèrent le Domaine Pierre Prieur et fils de 17 hectares dont 12 sont plantés en sauvignon et le reste en pinot noir.
Vous êtes à la recherche de nouvelles saveurs, de rencontres gastronomiques et de découvertes gustatives ? Alors, venez déguster les produits régionaux de nos belles régions.
Le vignoble sancerrois fait partie de ces régions viticoles toujours agréables à aborder, les meilleurs vins n’y atteignent pas des prix stratosphériques, les domaines y sont à dimension humaine et les propriétaires souvent prêts à partager leur passion. Le millésime 2012 constitue également une belle opportunité pour approfondir les connaissances, les réussites y sont nombreuses.
La simple énumération des propriétaires que nous vous présenterons à la visite (ou rencontrés autour d’un repas ou d’une dégustation) du Domaine Bourgeois à Chavignolau, Domaine Paul Prieur à Verdigny ou Vacheron à Sancerre, sont une succession de références de la région qui font office de programme ! ! !
Sur la planète « vins blancs », le cépage sauvignon sur ce vignoble offre, quand il est correctement conduit, des vins avec des typicités assez marquées voire très marquées par le terroir (terres blanches, caillotes et silex). A cette approche traditionnelle, il convient d’ajouter les cuvées d’assemblage des différents terroirs pour les propriétaires faisant ce choix et les modes d’élevage qui ont souvent dépassé le stade expérimental.
Vous découvrirez l’origine géologique des terroirs durant votre visite de la Maison des Vins de Sancerre au travers d’une belle animation lumineuse et pédagogique sur la géologie.
PRIX PAR PERSONNE : 170 €
CE PRIX COMPREND :
CE PRIX NE COMPREND PAS :